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Zainab

Muhammad Husayn Haykal

Balland

978-2-940556-45-8

Zainab est considéré comme le premier roman moderne égyptien. Cette publication de 1913 critique le sujet encore débattu du mariage arrangé. Alors que s’achève l'adolescence de Zainab et que s’éveille sa féminité, elle est engagée de force dans un mariage avec Hassan. Malgré sa bonne nature, Ibrahim est le seul homme qui capture vraiment le coeur de...

13.00 €

Caractéristiques

Auteur Muhammad Husayn Haykal
Editeur Balland
ISBN 978-2-940556-45-8
EAN-13 9782940556458
Date de parution 2016
Nombre de pages 150
Dimensions 11 cm x 18 cm
Poids 300 g

Résumé

Zainab est considéré comme le premier roman moderne égyptien. Cette publication de 1913 critique le sujet encore débattu du mariage arrangé. Alors que s’achève l'adolescence de Zainab et que s’éveille sa féminité, elle est engagée de force dans un mariage avec Hassan. Malgré sa bonne nature, Ibrahim est le seul homme qui capture vraiment le coeur de Zainab. Mais en raison de règles sociales strictes, leur temps ensemble est limité et leur passion n’est jamais exprimée aux regards. Hamid, le cousin de Zainab tombe également sous le charme irrésistible de Zainab. Cependant, son mariage à Hassan et son amour envers Ibrahim la rendent inaccessible. Zaynab a exercé une profonde influence sur la littérature arabe, ce qui s'explique par le fait qu'il s'agit là du premier roman qui mette au premier plan le thème de l'existence paysanne. Les poètes continuaient, en effet, à imiter la poésie classique qui exprimait les besoins d'une société bédouine. Quant à la prose, elle a été, dès sa naissance, l'expression d'une élite citadine dont elle reflétait les préoccupations égocentristes. Influencé par La Nouvelle Héloïse, Haykal donne pourtant une description assez idyllique de la vie des fellahs : « Malgré leur misère infinie, ils connaissent, grâce à leur endurance, une certaine forme de bonheur. Sur ces visages brunis par le hâle s'épanouit un sourire de contentement. » Cette conception lyrique de la vie des paysans a séduit le lecteur arabe et en particulier le citadin qui, lassé par le tumulte de la ville, rêvait de lieux paradisiaques où règnent calme, innocence et bonheur.